Délicatement sculpté avec des détails délicats d'écailles de poisson, de sabots de cheval et d'une tête de lion. Ancien numéro d'inventaire présent en bas.

Chaque côté est sculpté en relief avec un champ de spirales de virgule insérées dans des bordures étroites et surélevées, la pierre translucide et même de ton jaune et finement polie.

Bien moulé, représenté debout sur une base rectangulaire. Vêtue d'une robe, fixée par un cordon à pompons réunis au niveau de la poitrine. Les deux bras entrants avec les mains jointes à la taille. A un visage rond avec une expression sévère. Toutes les parties visibles du corps (tête, mains et pieds) sont dorées. Le reste de la figure comprend une patine brun-rougeâtre.

Jade sculpté blanc laiteux. Représente Wang Xizhi (303-361 après JC), l'un des calligraphes les plus célèbres de Chine et le favori de l'empereur Qianlong. Sceau Qianlong trouvé au bas de la sculpture. Expression douce au visage, posture détendue avec une oie à côté de lui. Wang avait un penchant pour l'animal et la sculpture sert de reflet de plaisir avec l'association symbolique de l'oie et Wang, couplée au contentement incarné dans la posture.

Le corps comprimé est relevé sur trois pieds cabrioles. Le glacis est d'une riche couleur bleue épaisse avec une touche caractéristique de violet sur le corps. Le bord de la bouche est gorgé d'une manière élégante.

Qianlong six caractères marquent en bleu sous glaçure et de l'époque. De forme ronde, la porcelaine d'un ton blanc visible au bord du pied et recouverte sur tout le corps d'une riche couleur violacée contenant des variations du bleu au rouge, typique du flambé du XVIIIe siècle. Le bouchon en argent entourant d'une perle de verre vert.

Jade lourdement sculpté avec des masques Taotie des deux côtés, deux poignées en forme de qi stylisées longues et surélevées sur un pied circulaire. La pierre est d'un ton beige opaque se transformant en variations marron et noir à l'intérieur de la censure et sur l'une des poignées. Ancien numéro d'inventaire en bas et numéro d'enchère sur le côté. De la collection de Jacques Poberejsky (1885-1949)

Marque Xuande 6 caractères au bas de la censure. Fini avec une patine brune. Base et couvercle en bois sculpté.

Fours de juin, province du Henan. Porcelaine de forme ovale, la bouche bordée se détache légèrement du corps. Le récipient repose sur un épais pied circulaire non vitré montrant la couleur blanc crème de la porcelaine. La glaçure est de couleur bleu clair avec une très légère teinte violacée à l'extérieur dépassant de la lèvre, tombant en grosses gouttes vers le fond du récipient. Le corps est entièrement recouvert d'une toile très fine et subtile de fissures et de très petites bulles, toutes deux issues de la technique de tir.

Marque à quatre caractères Qianlong peinte en rouge et de l'époque. Le corps bulbeux peint de chaque côté d'un cartouche lobé renfermant une inscription arabe dorée sur un fond bleu indiquant «La illah il Allah» d'un côté et «Muhamad rasul ullah» de l'autre. Cela peut être traduit par «Il n'y a pas d'autre Dieu qu'Allah, Muhamad est son prophète. De délicates fleurs de lotus sur des branches feuillues défilant sur un avant-plan jaune entourent chaque façade, le bol à deux poignées dorées en forme de boucle simple, l'intérieur émaillé blanc avec une fleur rose dans le puits. Bien que des exemples de brûleurs d'encens avec des inscriptions islamiques soient bien connus, en particulier en bronze ou en cloisonné, il est très inhabituel de trouver une pièce en émail peint comme le lot actuel, en particulier avec la marque de règne impérial Qianlong, ce qui nous amène à penser que cette pièce pourrait être d'origine impériale et destiné à être offert en cadeau de l'empereur à un homologue du Moyen-Orient.